Fabuleuse transparence du matin, vertigineuse en dépit de son ordinaire, banale et miraculeuse comme le sont tous les matins de tous les jours,

mais que d’ordinaire on ne voit plus, ou plutôt que l’on n’a jamais vue.

Il m’a fallu cette rencontre avec Haruka pour m’ouvrir les yeux et m’éveiller à cette fraîcheur et cette innocence

où plus rien ne fait écran à la netteté et la clarté des formes.